Quartz Nature s’installe à Saint-Hyacinthe Nouvel investissement de 1,6 M$
Saint-Hyacinthe, le 19 décembre 2011 – Quartz Nature, spécialisée dans la confection et la production de manteaux d’hiver pour hommes et femmes, quittera Longueuil en avril 2012. L’entreprise prendra alors possession d’une toute nouvelle bâtisse située dans le parc industriel Olivier-Chalifoux. La première pelletée de terre a eu lieu aujourd’hui, à Saint-Hyacinthe. L’investissement total du projet est de l’ordre de 1,6 M$.
Dirigée par M. Yves Trudeau, Quartz Nature compte actuellement huit employés. Le déménagement permettra de créer cinq nouveaux emplois. En période de pointe, Quartz Nature fournit également du travail à près de cent employés en sous-traitance puisque ses produits sont entièrement confectionnés au Québec.
« Saint-Hyacinthe constitue une location géographique stratégique pour nous. De plus, nous y avons trouvé un terrain qui a une valeur intéressante et nous bénéficierons d’avantages fiscaux non négligeables. Ce choix, c’est aussi une question de qualité de vie », avoue M. Trudeau.
« Nous sommes très heureux d’accueillir une entreprise qui, malgré les difficultés dans son secteur, a su se démarquer grâce à un design novateur et la qualité de sa production. Nous nous réjouissons de voir Quartz Nature, une entreprise en pleine croissance, passer du stade de locataire à celui de propriétaire, et ce, en optant pour Saint-Hyacinthe », a indiqué pour sa part Mario de Tilly, directeur général du CLD Les Maskoutains.
Le développement durable est une préoccupation constante de cette entreprise citoyenne qui a choisi de maximiser la production de manteaux d’hiver au Québec. La création d’emplois et la réduction des impacts environnementaux par le recyclage d’une quantité importante des rebuts de production ont été des leitmotivs depuis ses débuts, en 1997.
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Source : Denyse Bégin
Agente de communications
CLD Les Maskoutains
450 773-4232, poste 224
Publié par Nouvelles, le Déc 20, 2011 • Catégorie: Saint-Hyacinthe •
UN BUDGET 2012 SOUS LE SIGNE DE L’HARMONISATION DES TAUX FONCIERS
Saint-Hyacinthe, le lundi 19 décembre 2011 – C’est au cours d’une séance extraordinaire tenue le 19 décembre 2011 que les membres du conseil municipal ont procédé à l’adoption du budget 2012 de la Ville de Saint-Hyacinthe, lequel totalise 81 800 000 $, soit une majoration de 5 300 000 $ par rapport au budget précédent. Il s’agit là d’une hausse de 6.93 % soit la variation la plus importante des quatre dernières années, en raison du service de la dette qui augmente et du fait que nous avons accru nos dépenses d’investissement pour plus de 1 000 000 $. Toutefois, si on exclut les frais de financement et les affectations au fonds des dépenses en immobilisations, on remarque que les dépenses de fonctionnement connaissent, quant à elles, une majoration de 4.36 %, ce qui se situe dans le même ordre de grandeur que ce qu’on a connu ces dernières années.
Pourtant, au moment de préparer les prévisions budgétaires, il faut souligner que la Ville était confrontée à un taux d’inflation qui se situe à 2.9 % pour la période de septembre 2010 à octobre 2011, ce qui représente pas moins de 1 690 000 $ de dépenses additionnelles pour l’an prochain. On doit également considérer l’augmentation de 1 % de la taxe de vente du Québec, qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain et qui impose des coûts additionnels de l’ordre de 409 000 $, montant qui s’ajoute, de façon récurrente, aux coûts supplémentaires associés à une première hausse de la TVQ que nous avons enregistré au début de l’année 2011.
Si on considère, en plus, les coûts d’opération associés à l’entrée en vigueur du nouveau Centre aquatique Desjardins, qui entraîne des déboursés additionnels de 500 000 $ et qu’on prend en compte d’autres ajustements moins importants dans une multitude de postes budgétaires, on comprend rapidement d’où provient l’augmentation de 4.36 %.
Quant à l’augmentation du service de la dette qui est de l’ordre de 1 735 700 $, celle-ci est occasionnée par le financement des règlements d’emprunt 303, 321, 331 (prolongement du boulevard Casavant Ouest), 333 (Centre aquatique Desjardins) et 363 (plan de redressement du régime de retraite des employés municipaux). Ces obligations financières, on le conçoit, sont évidemment liées à la réalisation de nombreux projets structurants.
Au même moment, le conseil municipal a choisi d’accroître ses investissements sur le territoire en utilisant la marge de manœuvre qui fut dégagée par le remboursement d’emprunts temporaires à la fin de l’exercice financier 2010, ce qui démontre sa préoccupation de faire en sorte que les infrastructures, bâtiments et équipements appartenant à la municipalité soient encore mieux entretenus et en meilleure condition.
En contrepartie de ces dépenses accrues, la municipalité bénéficiera, en 2012, de revenus additionnels provenant de l’accroissement de l’assiette fiscale de même que de l’augmentation des transferts gouvernementaux. Cependant, l’élément-clé qu’on retiendra sans doute de ce budget 2012, demeure, certes, l’harmonisation complète des taux fonciers pour l’ensemble des contribuables maskoutains ce qui générera des recettes supplémentaires de 1 847 000 $. Ainsi donc, pour la toute première fois depuis le regroupement municipal de 2001, l’ensemble des contribuables maskoutains contribueront au financement des services municipaux sur une même base et ce, en toute équité.
Malgré un contexte budgétaire qui imposait ses contraintes, la Ville de Saint-Hyacinthe aura quand même réussi à livrer un budget équilibré tout en intégrant de nouvelles préoccupations, notamment en matière environnementale, ce qui trouve rapidement écho chez les Maskoutains et les Maskoutaines. Toutefois, en dépit du taux d’inflation plus élevé, d’une seconde hausse de la TVQ, d’un service de dette qui augmente et d’un niveau d’investissement plus élevé, on aura réussi à limiter la hausse de la taxe foncière générale à 1.26 % soit 0,01 $ du 100 $ d’évaluation. Ainsi donc, le nouveau taux foncier se situera pour 2012, à 0,80 $ du 100 $ d’évaluation et ce, faut-il le rappeler, pour l’ensemble du territoire.
Par ailleurs, pour ce qui est de la tarification associée à la fourniture de certains services la perspective est fort heureuse puisque la majorité des tarifs demeurent inchangés pour 2012 par rapport à 2011. Seule la tarification pour la vidange d’une installation septique connaît une augmentation de 3 $, du fait que nous avions quelque peu sous-estimé leur nombre sur notre territoire, d’où un léger manque à gagner pour couvrir l’ensemble des coûts relatifs à ce service. Rappelons que cette tarification fut imposée pour la première fois en 2011 aux immeubles non desservis par un réseau d’égout sanitaire.
Bien qu’un certain nombre de propriétaires soient confrontés à une hausse importante de leur compte de taxes, en raison de l’harmonisation du taux foncier sur l’ensemble du territoire, il n’en demeure pas moins que, pour la très grande majorité, l’ensemble du compte de taxes 2012, ce qui inclut la tarification, connaîtra une majoration de 0,98 % par rapport à celui de 2011, ce qui est assez exceptionnel si on se compare à d’autres municipalités de la taille de Saint-Hyacinthe qui ont déjà annoncé leur taux de taxe pour l’an prochain. Il n’est donc pas étonnant, qu’au moment de présenter le budget 2012 de sa municipalité, le maire Claude Bernier, se soit dit très satisfait de ses prévisions budgétaires qui, a-t-il rappelé « ont été préparé avec une rigueur renouvelée tout en gardant à l’esprit qu’une municipalité administre l’argent de ses contribuables et qu’elle doit le faire de façon responsable».
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Source: Direction générale
450 778-8303
Publié par Nouvelles, le Déc 20, 2011 • Catégorie: Saint-Hyacinthe •
LE CLD REÇOIT LE MINISTRE DE L’AGRICULTURE À SAINT-LOUIS
Saint-Hyacinthe, le 19 décembre 2011 – Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, M. Pierre Corbeil, s’est arrêté quelques heures à Saint-Louis, le mardi 13 décembre, afin de discuter des grandes questions agricoles de l’heure avec une quinzaine de producteurs agricoles de cette région. La mairesse de la municipalité, Mme Doris Gosselin, assistait également à l’échange de même que certains élus municipaux, à titre d’observateurs invités.
Réalisée à l’initiative du CLD Les Maskoutains, la rencontre a porté notamment sur le livre vert qui jettera les bases de la toute première politique bioalimentaire du Québec, sur la gestion de l’offre, sur les réalités vécues dans certaines productions comme le porc, ainsi que sur l’accréditation syndicale unique des producteurs agricoles du Québec.
« Je remercie tous ceux et celles qui étaient présents à cette rencontre. C’est en travaillant tous ensemble et de façon constructive que nous développerons, dans l’intérêt de tous et chacun, le secteur bioalimentaire québécois. Cette collégialité doit aussi caractériser les relations dans l’ensemble des maillons de la filière bioalimentaire. Seul, on peut aller plus vite, mais ensemble, on ira plus loin », a affirmé le ministre Corbeil.
Les producteurs agricoles représentaient différents secteurs de production et malgré quelques points de vue divergents, ils ont convenu avec lui de l’importance de soutenir la relève agricole, espoir pour l’agriculture de demain.
Les producteurs ont été ravis du temps pris par le ministre de l’Agriculture pour venir les écouter dans leur milieu.
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Source : Denyse Bégin
Agente de communication
CLD Les Maskoutains
(450) 773-4232, poste 224
Publié par Nouvelles, le Déc 20, 2011 • Catégorie: Saint-Hyacinthe •
Vingt-cinquième concours annuel des grandes cultures La Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe souligne l’excellence dans notre région!
Saint-Hyacinthe, 14 décembre 2011 – La Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe a récompensé les meilleurs
producteurs de l’année lors de son vingt-cinquième concours régional de grandes cultures, dans les catégories Blé,
Maïs, Soya et Luzerne. Les participants provenaient des six sociétés membres de la Société d’agriculture de Saint-
Hyacinthe, soit les Sociétés d’agriculture des comtés de Bagot, du Chambly régional, de Richelieu, de Rouville, de la
Vallée des Maskoutains et de Verchères.
M. Bernard Nadeau, juge régional, a évalué les cultures au champ selon plusieurs critères, dont la régularité du
semis, le respect de l’environnement, le contrôle des mauvaises herbes, le rendement et la présence de maladies ou
d’insectes. Les finalistes dans chaque catégorie ont préalablement remporté le premier prix au niveau local, dans les
sociétés d’agriculture membres de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe.
Le Concours régional de grandes cultures, organisé par la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, vise à valoriser la
profession des producteurs et productrices en grandes cultures, et à récompenser leurs efforts vers l’excellence.
Les gagnants sont :
Premier prix, catégorie Blé
Ferme G.S. Tétreault (M. Stéphane Tétreault), Société d’agriculture de la Vallée des Maskoutains.
Premier prix, catégorie Luzerne
Monsieur Pierre Savaria, Société d’agriculture de la Vallée des Maskoutains.
Premier prix, catégorie Maïs
Monsieur Pierre Plante, Société d’agriculture de Bagot.
Premier prix, catégorie Soya
Ferme Conrad Riendeau et fils (M. Michel Riendeau), Société d’agriculture de Rouville.
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Bas de vignette : Les gagnants : Pierre Plante, Stéphane Tétreault, Nicolas Riendeau et Pierre Savaria, entourés des
membres du Conseil d’administration Léon Sansoucy nouveau président, Normand Fontaine, Daniel Brouillard,
Robert Robert jr. vice président, André Lussier (président 2011) , Simon Giard ainsi que Claude Bernier maire de
Saint-Hyacinthe.
Source : Karl André Végétarian
Responsable des communications
Tél. : 450 773-9307 poste 224
2670, av. Beauparlant,
Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 4M8
karlandre@expo-agricole.com
Publié par Nouvelles, le Déc 14, 2011 • Catégorie: Saint-Hyacinthe •
Sondage Léger Marketing/SVM sur l’expérience client Canac, toujours la plus populaire
Québec, le 13 décembre 2011 – L’entreprise Canac s’est taillé une place de choix arrivant au 23e rang parmi les 113
détaillants du Québec en liste lors du deuxième sondage portant sur l’Indice de l’expérience client Léger Marketing/SVM.
Publié par Les Affaires, le sondage a identifié Canac parmi les commerçants offrant une excellente expérience client au
Québec en lui décernant la note de 75,9. L’entreprise se classe ainsi au premier rang des quincailleries devançant
largement tous ses compétiteurs.
Le sondage Léger Marketing/SVM met en lumière le degré d’appréciation des consommateurs quant à leur expérience
vécue en magasin au cours des six derniers mois. Pour une deuxième année consécutive, les 400 clients ayant répondu
au sondage ont attribué à Canac un excellent résultat. Selon Marie-Eve Fournier, journaliste au journal Les Affaires, le
classement obtenu par l’entreprise « s’explique en grande partie par ses bas prix, qui lui ont valu 67 % de notes de 8/10
ou plus ». Selon le président de Canac, Jean Laberge, la compétitivité de l’entreprise s’explique par son centre de
distribution. « Ça nous permet d’acheter directement des manufacturiers sans intermédiaire et d’ainsi offrir des prix
avantageux » explique Jean Laberge, président de Canac.
L’entreprise québécoise devance sérieusement ses concurrents, particulièrement les géants Home Dépôt (50e / 63,9),
Rona (70e / 59,3) et Canadian Tire (77e / 56,9). Rappelons que les critères de l’expérience client portaient sur 17
dimensions, notées sur une échelle de 1 à 10, comme la qualité et la variété des produits, les prix, la courtoisie et la
compétence des employés, l’ambiance et l’aménagement des lieux et la rapidité à la caisse.
Jean Laberge, très fier du score qu’obtient Canac auprès des consommateurs, attribue cette réussite principalement à
ses 1 700 employés et à la philosophie de l’entreprise basée sur les valeurs familiales.
À propos de Canac
Canac est la seule chaîne de quincaillerie et de matériaux de construction indépendante issue de la région de Québec.
Dotée d’un service personnalisé et de plus de 135 années d’expertise en matière de construction et de rénovation,
Canac compte aujourd’hui 20 magasins dans l’Est du Québec. Le 21e magasin de la chaîne ouvrira ses portes, au
printemps prochain, à Drummondville.
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Renseignements : Martine Roux, directrice de la publicité
Canac
418 667-1409, poste 122
Collaboration
Publié par Nouvelles, le Déc 14, 2011 • Catégorie: Drummondville •
La Politique nationale de la ruralité a dix ans L’implication citoyenne et l’innovation au coeur de sa réussite
Saint-Hyacinthe, le 7 décembre 2011 – Il y dix ans, le gouvernement du Québec lançait la Politique nationale de la ruralité. Celle-ci invitait les citoyens du monde rural à prendre en charge leur propre développement et elle allait permettre de soutenir et renforcer le rôle des élus de la MRC des Maskoutains en leur offrant un outil important, le Fonds du Pacte rural maskoutain. En 2010, l’OCDE a reconnu cette politique comme étant l’une des plus avant-gardistes au sein de ses pays membres, pour favoriser le développement des milieux ruraux. Bien avant l’annonce de cette politique, les acteurs socioéconomiques du territoire maskoutain avaient entrepris une réflexion globale sur le développement rural afin d’élaborer un plan stratégique devant mener à des actions efficaces de développement des communautés. Cette démarche de consultation a été arrimée à celles proposées par la Politique nationale de la ruralité. De 2001 à 2011, un montant de 2 357 525 $ a été injecté dans les seize municipalités rurales de la MRC des Maskoutains via le Pacte rural maskoutain. Les projets soutenus ont permis à de nombreux citoyens et citoyennes de s’impliquer dans le développement de leur milieu et ainsi, de renforcer leur sentiment d’appartenance. Des impacts structurants pour la croissance à long terme des communautés Soixante-seize projets ont été soutenus par le Fonds du Pacte rural au cours de ces dix ans, à raison de deux appels de projets par année, l’un au printemps et l’autre à l’automne. La majorité d’entre eux a eu pour effet de bonifier les infrastructures de loisir et de sport dans les municipalités rurales de la MRC des Maskoutains. De plus, le Pacte rural maskoutain a permis de répondre aux préoccupations soulevées par les élus, intervenants et citoyens des municipalités concernées, soit :
Placer l’école au centre des préoccupations de la revitalisation rurale;
Inciter les entrepreneurs à prendre part à la vie socioéconomique locale;
Accompagner les acteurs ruraux afin de promouvoir le potentiel d’attraction de leur territoire;
Accompagner la population dans la prise en charge de son développement;
Soutenir les interactions entre les milieux.
Aujourd’hui le rôle du Pacte rural maskoutain est de stimuler et soutenir le développement durable et la prospérité des collectivités rurales. Ceci se traduit par une volonté commune de diversifier l’économie, de consolider et de développer l’emploi, d’encourager l’esprit d’entreprise, de favoriser l’entrepreneuriat social et d’accroître la participation de la population au développement par le biais de projets innovants et structurants. Exemples de projets structurants pour la MRC des Maskoutains En 2009, la MRC a créé le Réseau Internet Maskoutain pour répondre aux besoins de la population rurale qui ne pouvait avoir accès à Internet haute vitesse. Le projet permet aux citoyens de la MRC des Maskoutains d’avoir accès à Internet haute vitesse à un prix comparable à celui offert aux citoyens de Saint-Hyacinthe. Actuellement, 510 particuliers, organismes et entreprises bénéficient de ce service. Le Fonds a également soutenu la mise en valeur du site Chouette à voir!, situé dans l’une des plus belles forêts maskoutaines, à Saint-Jude. Ce projet récréotouristique a servi à améliorer le milieu naturel en y aménageant des sentiers d'interprétation et des volières de présentation. Un dernier exemple touche l’adoption de saines habitudes de vie. Il s’agit de l’installation de trois exerciseurs extérieurs, dans un parc situé au coeur de la municipalité de Saint-Liboire. L’objectif principal de ce projet était de fournir aux citoyens un espace extérieur adapté à la pratique d’une activité physique.
Pour plus de renseignements, vous pouvez communiquer avec Steve Carrière, agent de développement rural pour le territoire de la MRC des Maskoutains à l’adresse courriel suivante : carrieres@cld-cite.qc.ca ou par téléphone au 450-773-4232 poste 257.
-30- Source : Denyse Bégin Agente de communication CLD Les Maskoutains 450 773-4232, poste 224
Publié par Nouvelles, le Déc 07, 2011 • Catégorie: Saint-Hyacinthe •
M. Fernand Roger sera la 23e personne intronisée au Temple de la renommée des affaires de la CCID.
Drummondville, le mardi 6 décembre 2011 – Personnalité respectée du monde des affaires ayant reçu de nombreuses reconnaissances et profondément engagée dans le développement de sa communauté, entrepreneur visionnaire qui a su donner naissance à quelques entreprises reconnues comme fer de lance dans leur domaine respectif, voilà quelques uns des traits caractéristiques de Monsieur Fernand Roger qui sera intronisé, à titre de Bâtisseur, au Temple de la renommée des affaires de la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond. C’est le lundi 30 janvier prochain, lors du traditionnel coquetel des Bâtisseurs, que le Temple de la renommée des affaires accueillera ainsi son 23e bâtisseur.
Fernand Rogerl’entrepreneur et l’homme d’affaires averti
C’est après avoir étudié à l’école Saint-Frédéric de Drummondville et à l’école Paul-Rousseau, en ajustage mécanique que Fernand Rogerdécide d’aller suivre une formation technique en dessin d’outillage, à l’Institut de technologie de Montréal au début des années 1967. Il obtiendra, par la suite, un certificat en administration à l’Université du Québec à Trois Rivières.
Quelques années plus tard, plus précisément en juin 1973, il fonde avec deux associés, MM. Fernand Dumas et Yvon Forest, Dessins Drummond inc., qui a donné naissance en 1976 au premier magazine d’architecture au Québec, « Plans de maisons du Québec ». Bien que l’entreprise Dessins Drummond faisait tranquillement son bout de chemin et connaissait une croissance régulière, ce magazine a rapidement propulsé l’entreprise au sommet de sa popularité qui a largement dépassé au fil des années, le seul territoire du Québec.
Des magazines sont aussi publiés en Pologne, en France, en Espagne et aux États-Unis. Chez nos voisins du sud, le magasine a été distribués dans des milliers de points de vente, sous l’appellation International Home Plans
De 1986 à 1995, en l’espace de 9 ans, quelque 10 succursales de Dessins Drummond ont été ouvertes dans plusieurs villes au Québec. L’entreprise qui a toujours son siège social au 2950, boulevard Lemire à Drummondville est la propriété, depuis décembre 2002, de Mme Marie-France Roger, fille de Fernand, et de son gendre M. Yves Carignan. Ils possèdent aujourd’hui 20 bureaux sur tout le territoire du Québec, et ce, malgré le fait que de plus en plus de transactions s’effectuent via le site Internet de l’entreprise www.dessinsdrummond.com.
Au delà des succès retentissants de l’entreprise Dessins Drummond et du magazine Plans de maisons du Québec, Fernand Roger a su imposer son savoir-faire par le biais de la mise sur pied, en août 1976, de l’entreprise Technojob spécialisée dans le placement de main-d’œuvre technique et d’ingénieurs. Toujours très active, cette entreprise est fort connue des gens du domaine de l’emploi et dans le milieu manufacturier qui souvent procède à la location de main-d'œuvre spécialisée.
Au cours de sa carrière et même encore aujourd’hui, Monsieur Roger prononce de nombreuses conférences sur l’architecture résidentielle au Québec en plus d’accepter la présidence d’honneur de différents organismes de la région, pour leur venir en aide.
Fernand Rogerle bénévole engagé dans sa collectivité
Parties intégrantes de sa vie citoyenne, l’engagement social et le bénévolat font aussi partie du quotidien de la carrière professionnelle de Fernand Roger. De 1970 à 1972, il fut administrateur de l’Ordre des technologues du Québec dans la MRC de Drummond en plus d’avoir siégé au niveau national de cet organisme voué au développement professionnel des technologues du Québec. En 1990, il fonda l’Association des technologues Conseil en bâtiment du Québec, organisme regroupant 93 bureaux au Québec. À titre de fondateur de cette association provinciale, Fernand Rogerfut responsable de la révision de la loi couvrant les règles d’architectures au Québec.
De 1988 à aujourd’hui, notre Bâtisseur s’est donné à fond de train dans la mise à niveau et la revalorisation du Moulin à laine d’Ulverton. Il a été administrateur et président de la Corporation du Moulin d'Ulverton de 1988 à 1993, alors qu’il siège toujours, en compagnie d’anciens présidents, au Conseil des gouverneurs de ce site historique. Ce Conseil des gouverneurs agit comme un sénat et il a la responsabilité de veiller à ce que le Moulin à laine poursuivre sa mission intégrale.
De mai 2006 à aujourd'hui, Fernand Rogeragit on ne peut plus activement comme administrateur et président de la Société d’histoire de Drummond, organisme qui a acquis, au cours des dernières années, une notoriété incontestable et qui fait preuve d’un professionnalisme exemplaire. Devenue après de nombreuses démarches, un centre d’archives agréé par Bibliothèque et archives nationales du Québec, la Société d’histoire de Drummond est de plus en plus présente dans la communauté en plus de réaliser une foule de projets à saveur historique, preuve de son dynamisme et de sa présence bien sentie dans la communauté qu’elle dessert au quotidien.
Au cours de sa carrière, le Bâtisseur 2012 aura reçu de nombreux prix et hommages. En 1988, il est nommé Technologue de l’année au Québec par l’Ordre du Québec. L’année suivante, en 1989, il recevait le « National achievement award » premier prix canadien remis parmi les 71 000 membres technologues des provinces canadiennes. Au cours de cette même année, la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond lui a décerné le prix « Personnalité du mois » en plus de recevoir pour Dessins Drummond, le titre « Entreprise de services de l’année ».
En 1990, il est intronisé au Temple de la renommée de « l’Institut international des sciences et de la technologie » de Pittsburgh. Il est le premier Canadien à recevoir cet honneur. Au plan national, il a été la 56e personne au monde à être intronisée dans ce prestigieux « Hall of Fame » américain. En 2003, il a reçu le Grand prix du mérite du Conseil professionnel du Québec en reconnaissance de sa contribution exemplaire au développement de sa profession.
En 2011, la Caisse Desjardins de Drummondville lui remettait le prix de Grand Bénévole de l’année pour son implication dans le milieu social drummondvillois et pour cette même période, la Société Saint-Jean-Baptiste du Centre-du-Québec lui décernait le prix Lionel-Groulx pour sa contribution exceptionnelle comme bénévole, entre autres à la Société d’Histoire de Drummond.
Le coquetel d’intronisation au Temple de la renommée des affaires de la CCID
La prestigieuse cérémonie d’intronisation se déroulera à l’Hôtel & Suites Le Dauphin de Drummondville qui abrite le Temple de la renommée des affaires, initié par la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond en 1996..
Les 22 tableaux du Temple de la renommée des affaires de la CCID sont suspendus au rez-de-chaussée de l’établissement hôtelier, dans un des corridors adjacents au hall d’entrée. Ces tableaux, accessibles en tout temps aux clients de l’hôtel, bénéficient d’un éclairage directionnel permettant une mise en valeur des textes informatifs reliés à chacun des membres de ce prestigieux groupe de gens d’affaires locaux. Cet aménagement offert gratuitement par l’Hôtel & Suites Le Dauphin, permet de mettre en évidence des gens d’affaires qui ont participé par leur esprit entrepreneuriat et leur engagement social, à rendre encore plus important, le positionnement de la Ville de Drummondville dans le domaine de l’entrepreneuriat au Québec.
La Chambre de commerce et d’industrie de Drummond remercie chaleureusement les partenaires qui rendent possible la présentation de ce premier coquetel de l’année 2012, soit : la Caisse Desjardinsde Drummondville représentée par M. Jacques Mathieu, directeur du service communications / marketing, l’Hôtel & Suites Le Dauphin représenté par Madame Caroline Milot et Cogéco, Solutions affaires, représenté par Reno Longpré.
Lors de ce traditionnel coquetel, l’un des plus populaires de la Chambre, notre personnalité honorée prendra la parole et racontera les faits saillants de sa brillante carrière comme entrepreneur certifié « pur drummondvillois ».
Mentionnons que la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond a instauré le coquetel des Bâtisseurs, simultanément à la création du Temple de la renommée des affaires. Cette importante activité a été mise sur pied afin de rendre hommage à des femmes et des hommes qui ont apporté une contribution remarquable au développement économique de la région. À ce jour, vingt-deux personnalités ont été intronisées au Temple de la renommée des affaires. Monsieur Roger sera la vingt-troisième personnalité à recevoir ce titre honorifique de Bâtisseur, relié à cette intronisation.
Prix Jean-Claude-Milot
Le coquetel des Bâtisseurs sera aussi l’occasion, de dévoiler le récipiendaire du « Prix Jean-Claude-Milot » 2012. Ce prix est remis annuellement par la direction del’Hôtel & Suites Le Dauphin, en collaboration avec la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond, à une personne, un organisme, dont l’action a apporté des retombées significatives pour le tourisme dans la région au cours de l’année précédente.
Les membres de la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond et la population sont invités à participer en grand nombre à cette prestigieuse cérémonie d’intronisation ainsi qu’à la soirée du lundi 30 janvier prochain.
Les billets pour le cocktail des Bâtisseurs sont actuellement en vente au coût de 35 $ pour les membres et 45 $ pour les non-membres. À ces prix s’ajoutent les taxes applicables. L’inscription s’effectue directement en ligne en se dirigeant sur le site Internet www.ccid.qc.ca.
Pour des informations complémentaires, on peut communiquer avec l’équipe de la Chambre de commerce et d’industrie de Drummond au numéro 819-477-7822.
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Photo : Monsieur Fernand Roger
Source : Alain Coté,directeur général
819-477-7822
Publié par Nouvelles, le Déc 06, 2011 • Catégorie: Drummondville •
17e présentation du Déjeuner des médias Célébrations Lévis 2011 remporte le « Prix MédiAS – Performance de l’année » !
Québec, le mardi 6 décembre 2011 – C’est ce matin, lors du « Déjeuner des médias » qui se déroulait au Capitole de Québec, que Célébrations Lévis 2011 s’est vu attribuer le Prix MédiAS – Performance de l’année, visant à souligner uneperformance ou une innovation remarquable d’une entreprise ou d’une organisation dans une discipline associée à l’univers de la communication et du marketing en 2011.
À l’aube de la fin des célébrations entourant le triple anniversaire de la Ville de Lévis, l’organisation deCélébrations Lévis 2011 est honorée de recevoir cette distinction. Célébrations Lévis 2011 s’est vu décerner ce prix pour avoir su mettre sur pied un organisme crédible, qui a mis en valeur la municipalité, attiré des visiteurs de partout dans le monde et contribué à solidifier le sentiment d’appartenance des Lévisiennes et Lévisiens envers leur ville. « Ce prix représente beaucoup pour nous, car il témoigne de la reconnaissance du milieu pour l’ensemble des actions entreprises cette année et l’accomplissement d’un travail acharné. Proposer de nouvelles activités dans des lieux peu explorés jusqu’à présent représentait un défi de taille pour l’organisation. Voilà un signe que le défi fut relevé avec brio » a mentionné Sylvie Girard, commissaire à Célébrations Lévis 2011.
Les « Prix MédiAS » sont des marques distinctives de reconnaissance attribuées annuellement à des professionnels de l’univers des communications et du marketing qui œuvrent ou ont œuvré dans la Capitale-Nationale.
Revivez Célébrations Lévis 2011 en images!
Célébrations Lévis 2011 mettra en ligne très bientôt une vidéo retraçant les moments forts de sa programmation, des entretiens avec différents intervenants du milieu, un récapitulatif de l’année 2011 et beaucoup plus ! Une belle occasion de vivre ou revivre les grands moments de cette magnifique année qui se termine.
Pour tout connaître sur Célébrations Lévis 2011 : www.celebrationslevis2011.com
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Source :
Michèle Moffet
Coordonnatrice aux communications, Célébrations Lévis 2011
Publié par Nouvelles, le Déc 06, 2011 • Catégorie: Lévis •
LA FONDATION RENÉ-VERRIER CONSTRUIRA UNE MAISON DE SOINS PALLIATIFS À DRUMMONDVILLE
Drummondville, 2 décembre 2011
La Fondation René-Verrier, qui œuvre auprès de la communauté drummondvilloise depuis plus de 13 ans avec divers services pour les gens atteints de cancer, s’est donné le défi de construire une maison de soins palliatifs à Drummondville d’ici les trois prochaines années. À l’instar d’une vingtaine de villes au Québec, Drummondville jouira donc d’un lieu consacré aux soins palliatifs, opéré par un organisme reconnu par le milieu, en partenariat avec les intervenants du secteur de la santé.
Dans la dernière année, l’équipe de la Fondation a travaillé à la confirmation de ce qui était jusqu’ici, un souhait des membres de la famille Verrier à l’origine de la création de l’organisme. Plusieurs rencontres et discussions ont été réalisées avec les intervenants des différents milieux interpelés par la mise sur pied de la « Maison René-Verrier ». Ainsi, les intervenants de l’Agence de santé et services sociaux et du CSSS Drummond, les dirigeants de la Ville ainsi que les représentants gouvernementaux ont été rencontrés afin d’exposer ce que sera la Maison René-Verrier. Toutes ces rencontres ont été concluantes et les manifestations d’appuis ont été instantanées. Les premières étapes étant maintenant complétées, la Fondation René-Verrier concentrera ses énergies à la réalisation du plan visant la construction de cette maison d’ici 2015.
Composition de la Maison René-Verrier La Maison René-Verrier sera composée de 8 chambres de soins palliatifs pour adultes et 2 chambres pour enfants, conformément aux normes gouvernementales qui proposent 1 lit par 10 000 de population. On estime qu’avec une moyenne de séjour d’environ 3 semaines (selon la moyenne québécoise des maisons de soins palliatifs), elle pourra accueillir plus de 150 personnes adultes annuellement. « On parle ici d’une bâtisse avec une superficie de 25 000 pieds carrés. C’est plus qu’une maison, c’est un mini centre hospitalier, avec toutes les installations médicales nécessaires à son opération. Une très grande maison où règnera le respect de l’individu et de sa famille. Avec notre Unité René-Verrier et ses 3 chambres de soins palliatifs (qui existe depuis plus de 3 ans et qui est située au Centre d’hébergement St-Frédéric), nous accueillons déjà les gens atteints de cancer en phase terminale. La Maison elle, poursuivra cette mission mais accueillera aussi toutes les personnes nécessitant des soins palliatifs, adulte ou enfant, sans égard au type de maladie. » a précisé la présidente du conseil d’administration et co-fondatrice de la Fondation, Elizabeth Verrier.
Échéancier et campagne de financement
Prévu sur un échéancier de trois ans, le plan d’affaires prévoit une campagne majeure de financement de deux ans et l’ouverture de la maison en 2015 maximum. « Les prochaines étapes nous porteront à travers les 3 prochaines années avec la recherche d’un grand terrain, tranquille mais très accessible pour tous, y compris pour le personnel médical venant du CSSS. Ensuite, puisqu’il nous faudra développer les plans de cette maison dans les prochains mois, nous serons à la recherche d’architectes, ingénieurs et ultimement de contracteurs qui seront prêts à faire partie de l’aventure en étant généreux de leur temps et de leur expertise. Bien entendu, à la mise sur pied d’un comité de financement pour la campagne majeure qui aura comme objectif plus de 4 millions de dollars à amasser et qui débutera à l’automne 2012. La construction à elle seule est estimée à plus de 3 millions. L’opération de la Maison René-Verrier demandera plus de 1 million annuellement. Nous travaillons actuellement à établir des partenariats, notamment avec le CSSS pour voir en quelle mesure il sera impliqué dans l’opération de la Maison René-Verrier. Des approches envers d’autres importants organismes de la région ont également lieu actuellement afin de ne pas mettre nos partenaires et grands donateurs respectifs dans une situation inconfortable, mais plutôt de travailler ensemble pour le bien-être de notre communauté.» a souligné la directrice générale de l’organisme, Marie-Julie Tschiember.
Bilan positif de la dernière année
La Fondation René-Verrier trace un bilan très positif de sa dernière année. Avec le renforcement de l’équipe, la création et le développement de ses activités de financement, notamment la Divine Soirée Blanche, l’Annuel de Golf Soprema et la Randonnée pédestre et tour cycliste de la Famille Labonté-Boisvert ainsi que plusieurs autres activités ponctuelles organisées par les familles de bénéficiaires de l’Unité René-Verrier, l’organisme prévoit un surplus financier qu’elle injectera directement dans le projet de la Maison René-Verrier.
«Il est aussi important d’informer la population que ce projet viendra compléter les services que nous avons toujours offerts. Notre organisme aide les gens atteints de cancer, ainsi que leur famille et nous continuerons de le faire encore de nombreuses années. Tous ceux qui ont cru et qui continuent de croire en nous peuvent être assurés que la cause du cancer continuera d’être prioritaire pour nous. La Maison René-Verrier se veut un complément, une offre additionnelle pour le mieux-être de notre communauté. Il était normal que ce soit notre fondation qui opère ce projet. En 13 ans, nous avons prouvé que nous avons les reins assez solides pour le faire et la crédibilité dont nous jouissons dans le milieu sera précurseur du succès que nous remporterons avec la Maison René-Verrier. Nous espérons de tout cœur que la population et les gens d’affaires seront, encore une fois, au rendez-vous pour y participer! » ont conclu avec beaucoup de fierté la présidente et sa directrice générale.
De de plus amples informations sur la Fondation René-Verrier et ses services, ou pour faire un don, www.fondationreneverrier.com.
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Source :
Marie-Julie-Tschiember, Directrice générale
(819)-477-3044, mjtdg@fondationreneverrier.com
Publié par Nouvelles, le Déc 02, 2011 • Catégorie: Drummondville •
AURP Awards of Excellence 2011 LA CITÉ DE LA BIOTECHNOLOGIE DE SAINT-HYACINTHE CHOISIE MEILLEUR PARC TECHNOLOGIQUE EN ÉMERGENCE AU MONDE
Saint-Hyacinthe, le 1er décembre 2011
Grande nouvelle pour la Cité de la biotechnologie agroalimentaire, vétérinaire et agroenvironnementale de Saint-Hyacinthe. À l’occasion de la conférence internationale de l’Association of University Research Parks (AURP) qui se termine aujourd’hui à la Nouvelle-Orléans, l’organisation maskoutaine s’est vue décerner le prix du Meilleur parc technologique en émergence de l’AURP Awards of Excellence 2011.
Saint-Hyacinthe s’est démarqué parmi une dizaine d’autres parcs technologiques à travers la planète également en nomination. Il devient ainsi le premier au Québec et le troisième au Canada à remporter un prix dans l’une ou l’autre des catégories de ce prestigieux concours qui en était, cette année, à sa 16e édition.
Ce prix est remis annuellement à un jeune parc technologique qui excelle dans leur capacité à transférer des technologies issues de la recherche appliquée en activité économique viable, à susciter des investissements, de l’emploi de même que des revenus publics. Il doit participer activement au développement de la communauté universitaire et de la recherche ainsi que contribuer au recrutement et à la rétention de chercheurs et de jeunes talents.
« La force d'un parc de recherche universitaire est son impact sur la communauté et sa capacité à stimuler la croissance économique, créer des emplois et améliorer la qualité de vie dans son milieu », a déclaré le président de l'AURP, Harold Strong. « C'est un plaisir de vous annoncer que Saint-Hyacinthe Technopole a été nommé meilleur Parc de recherche en émergence en 2011 par notre organisation. Nous savons que les progrès de ce parc ne font que commencer et nous nous réjouissons de la réussite et de l'impact communautaire de Saint-Hyacinthe Technopole », a-t-il ajouté.
D’une superficie de près de 10 millions de pieds carrés, la Cité accueille déjà plus de 30 sociétés privées innovantes. Plus de 600 M$ en investissements publics et privés y ont été réalisés et quelque 580 emplois directs ont ainsi été créés, ce qui en fait l’un des plus hauts taux de développement pour les parcs de haute technologie du genre au Canada.
Le directeur général de la Cité, Mario De Tilly, a reçu ce prix avec beaucoup de fierté. « C’est une reconnaissance qui rejaillit sur l’ensemble de notre région. Encore une fois, Saint-Hyacinthe fait la preuve de la qualité de ses activités de recherche de haut niveau et de son positionnement au niveau international. Il ne fait plus de doute que la Cité de la biotechnologie s’impose comme grand centre de l’innovation et du développement de l’industrie bioalimentaire au Québec et dans l’Est du Canada », a mentionné ce dernier.
Il s’agit d’une deuxième reconnaissance de prestige en peu de temps pour le jeune parc technologique. En effet, en début d’année, il était le seul parc technologique canadien, et le seul en Amérique du Nord avec celui de San Diego aux États-Unis, à figurer d’en une prestigieuse étude de la firme PricewaterhouseCoopers réalisée pour le compte de la Commission européenne et qui portait sur les performances des « bioclusters ». Parmi tous les parcs étudiés, il s’était classé au même niveau de développement que les pôles de Paris, Oslo, Munich et devancé seulement par Cambridge et San Diego.
Rappelons que la Cité de la biotechnologie agroalimentaire, vétérinaire et agroenvironnementale de Saint-Hyacinthe est l’un des premiers parcs technologiques exclusivement consacrés au secteur du bioalimentaire en Amérique du Nord. Il a été développé autour de deux grandes institutions de recherche et d’enseignement supérieur que sont la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal (Faculté hors campus principal) et le Centre de recherche et de développement sur les aliments. De plus, elle compte sur la présence de trois incubateurs d’entreprises, de 22 chaires et centres de recherche, et de 17 organisations de support au développement, tous liés à l’industrie agroalimentaire.
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Source : Donovan St-Hilaire
Responsable des communications
CLD Les Maskoutains
450-773-4232, poste 244
Publié par Nouvelles, le Déc 01, 2011 • Catégorie: Saint-Hyacinthe •