Concours annuel des grandes cultures 2010
La Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe souligne l’excellence dans notre région!
Saint-Hyacinthe, 14 décembre 2010 – La Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe a récompensé cinq gagnants lors de son vingt quatrième concours régional de grandes cultures, dans les catégories Blé, Maïs, Soya, Orge et Luzerne.
Les participants provenaient des six sociétés membres de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, soit les Sociétés d’agriculture des comtés de Bagot, du Chambly régional, de Richelieu, de Rouville, de la Vallée des Maskoutains et de Verchères.
M. Bernard Nadeau, juge régional, a évalué les cultures au champ selon plusieurs critères, dont la régularité du semis, le respect de l’environnement, le contrôle des mauvaises herbes, le rendement et la présence de maladies ou d’insectes. Les finalistes dans chaque catégorie ont préalablement remporté le premier prix au niveau local, dans les sociétés d’agriculture membres de la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe.
Le Concours régional de grandes cultures, organisé par la Société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, vise à valoriser la profession des producteurs et productrices en grandes cultures, et à récompenser leurs efforts vers l’excellence.
Les gagnants sont :
Premier prix, catégorie Blé
Monsieur Jocelyn Michon, Société d’agriculture de la Vallée des Maskoutains.
Premier prix, catégorie Luzerne
Ferme Clair-Gré Inc, M. Daniel Frédette, Société d’agriculture de Richelieu.
Premier prix, catégorie Maïs
Monsieur Roland Beauchamp, Société d’agriculture de Verchères.
Premier prix, catégorie Soya
Monsieur Jocelyn Michon, Société d’agriculture de la Vallée des Maskoutains.
Premier prix, catégorie Orge
Ferme Conrad Riendeau, Monsieur Michel Riendeau, Société d’agriculture de Rouville.
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Bas de vignette Jean-Nicolas Michon et Jocelyn Michon (blé et soya), Claude Bernier maire de Saint-Hyacinthe, Roland Beauchamp (maïs) Simon Giard président de la société d’agriculture de Saint-Hyacinthe, Michel Riendeau (orge) le juge Bernard Nadeau et Daniel Frédette (luzerne)
Source : Karl André Végétarian
Responsable des communications
Tél. : 450 773-9307 poste 224
2670, av. Beauparlant,
Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 4M8
karlandre@expo-agricole.com
Publié par admin, le Déc 15, 2010 • Catégorie: Saint-Hyacinthe• Tags: Grandes cultures 2010 •
LE CENTRE‐VILLE DE DRUMMONDVILLE S’ENRICHIT D’UNE NOUVELLE BOUTIQUE
Drummondville, le 8 décembre 2010 – Le Commissariat au commerce et Femmessor, organisme de développement économique voué à l’entreprenariat féminin, sont heureux d’annoncer l’ouverture d’Histoire de Bulles chapitre V, boutique québécoise spécialisée en savons artisanaux et produits pour le corps. C’est aujourd’hui que se déroulait l’ouverture officielle de cette savonnerie qui a maintenant pignon sur rue au centre‐ville de Drummondville, au 139‐A rue Heriot, depuis le 5 novembre dernier.
Mme Linda Bélanger, propriétaire de la boutique, fût d’abord elle‐même cliente d’Histoire de Bulles et, par la suite, conseillère pour le chapitre II de Port‐Cartier l’an dernier. C’est après une visite chez des amis à Drummondville qu’elle a eu un coup de coeur pour notre région. Elle décide donc, en juin dernier, d’y emménager et d’entreprendre les démarches en vue de devenir franchisée d’Histoire de bulles. Quelques mois plus tard, elle ouvre le 5e chapitre de cette savonnerie qui a vu le jour en 1999 à St‐George de Beauce.
Dès le début de l’aventure, Mme Bélanger a été appuyé par le Commissariat au commerce ainsi que par Femmessor. Ces deux organismes se sont impliqués avec enthousiasme dans ce projet pour l’aider à réaliser son rêve. Mme Bélanger est maintenant prête à faire découvrir sa boutique aux citoyens et citoyennes de la municipalité de Drummondville et à leur offrir de vivre une expérience de magasinage sensorielle.
Les produits Histoire de Bulles se situe dans la nouvelle tendance du «retour aux sources» (artisanal, naturel, québécois, biodégradables). Tous sont fabriqués à la main à l’atelier‐boutique de St‐George et ne contiennent que des ingrédients naturels, de qualités et biodégradables. Ils apportent à la peau toute la douceur dont elle a besoin mais, ravit du même coup le nez par ses arômes envoûtants et les yeux par ses couleurs vives. 115 produits différents sont maintenant disponibles comprenant une gamme pour femme, pour homme, de même qu’une gamme pour enfants.
Le concept d’Histoire de Bulles laisse place à 60% de la superficie de plancher aux savons et produits pour le corps et 40% sont destinés aux différents produits fabriqués par des artisans locaux. À la boutique de Drummondville vous retrouverez les créations d’une dizaine d’artisans dont Ann Bartlett, Cocciminis ainsi que la collection de vêtements recyclés de Mme Musky.
221, rue Heriot, Drummondville (Québec) J2C 1J9
Tél. : (819) 472-6705 télécopieur : (819) 478-0981
commerces@ville.drummondville.qc.ca
www.commercesdr.com
Dans l’optique du projet de développement du centre‐ville de Drummondville et, en accord avec la Charte de développement commercial créée par le Commissariat au commerce, Histoire de Bulles se veut une acquisition importante pour le centre‐ville. Avec un investissement de 40 000$ et la création de deux emplois, cette franchise vient du même coup combler une offre commerciale quasi inexistante dans ce secteur de la ville et ainsi répondre au besoin de concept de spécialisation demandé par la population lors de la dernière enquête du centre‐ville en 2009.
Avec quatre boutiques ouvertes en plus ou moins d’un an, Histoire de bulles se veut un exemple de l’entreprenariat québécois et gageons que le grand livre d’histoire de cette compagnie québécoise n’en est pas à ses derniers chapitres…
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Source :
Valérye Bourassa
Conseillère en développement commercial
Commissariat au commerce
819‐472‐6705
vbourassa@commerce‐drummond.com
Publié par admin, le Déc 13, 2010 • Catégorie: Drummondville •
Se démarquer pour exceller dans ses interactions d’affaires
MONTRÉAL, le 1er décembre 2010 – La spécialiste en stratégies d’affaires Liette Monat publie enfin un ouvrage inspiré de ses populaires conférences et formations. Conçu spécialement pour les gestionnaires et les professionnels, l’ouvrage Ne vous arrêtez plus au ROUGE ! propose des stratégies, des techniques et même des manières de dire pour exceller chaque fois que vous faites une intervention dans le contexte de votre travail.
Dans un marché fortement concurrentiel, l’élaboration de stratégies d’intervention et d’habiletés relationnelles s’impose pour marquer des points. Présidente du cabinet Liette Monat Stratégies d’affaires (www.lmonat.com), Liette Monat se spécialise depuis 35 ans dans la formation et le coaching de professionnels et de gestionnaires. Sa riche expérience du milieu des affaires l’a amenée à concevoir une méthode qui met en valeur non seulement le savoir des professionnels (rouge) mais leurs habiletés relationnelles et stratégiques (jaune) et leur proaction (vert), des éléments clés du succès selon l’auteure.
« Il arrive que des idées « ordinaires » soulèvent l’enthousiasme alors que des idées « géniales » ne soient pas retenues. Il arrive que des professionnels ou des gestionnaires de qualité exceptionnelle ne soient pas reconnus à leur juste valeur alors que d’autres, aux compétences moindres, soient appréciés de leurs clients et collègues. Votre succès dépend autant de vous que de la qualité des solutions que vous proposez ! À vous de jouer ! »
Ne vous arrêtez plus au ROUGE ! se veut un guide pratique du « comment faire » et « comment dire ». Interactif, il est parsemé d’anecdotes de coaching, de mises en situation et de questionnaires qui permettront aux professionnels de cerner leurs forces et de corriger leurs faiblesses.
L’ouvrage est publié en français chez Éditions Yvon Blais (www.editionsyvonblais.com) et en anglais sous le titre Go Beyond the RED! chez Carswell (www.carswell.com).
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Source : Isabelle Leclerc
Éditions Yvon Blais
Une société Thomson Reuters
isabelle.leclerc@thomsonreuters.com
Publié par Nouvelles, le Déc 03, 2010 • Catégorie: Sorel-Tracy •
Développement PME C-A présente le potentiel de la biomasse forestière comme source alternative d’énergie.
Saint-Georges, le 2 décembre 2010 – À l’occasion du Colloque chauffage à la biomasse,
Développement PME Chaudière-Appalaches a présenté, aujourd’hui, tout le potentiel de la biomasse
forestière comme source alternative d’énergie et de chauffage à plus d’une centaine de participants
réunis au centre de congrès le Georgesville à Saint-Georges.
Avec la précieuse participation de huit conférenciers et experts sur le chauffage à la biomasse, il a été
montré de façon évidente que le chauffage à base de biomasse forestière, soit sous forme de copeaux
ou de granules, représente la forme d’énergie renouvelable ayant le plus haut taux de rentabilité et
les impacts socio-économiques les plus directs. Parmi les thématiques abordées, ils ont, entre autres,
traité des principaux aspects, notamment : l’aspect écologique, la disponibilité et la sécurité des
approvisionnements (cliquer ici pour accéder aux résumés des conférences).
Développement PME C-A souhaite aider les entreprises de la région à diversifier leurs activités
industrielles dans des créneaux à valeur ajoutée et à revoir leurs façons de faire pour assurer leur
croissance et leur développement. C’est dans cette optique que l’organisation a choisi de présenter
un colloque sur le chauffage à la biomasse forestière.
Grâce à la tenue de cet événement, DPME C-A vise principalement à favoriser l’émergence de projets
majeurs pour structurer l’intégration de la biomasse filière dans notre cadre de développement
économique. « Effectivement, nous croyons possible la concrétisation de projets d’envergure qui
feraient rayonner notre région sur le plan national et même international puisque Chaudière-
Appalaches ressortirait comme un leader québécois en la matière », a confirme M. Gilbert, directeur
général de Développement PME Chaudière-Appalaches. Des témoignages de dirigeants ayant
implanté le chauffage à la biomasse au sein de leur organisation ou de leur entreprise sont venus
appuyer la vision de DPME-C-A, ce qui confirme la faisabilité de tels projets.
Pour le président de la Conférence régionale des élu(e)s (CRÉ) de la Chaudière-Appalaches, M.
Maurice Sénécal, il faut regarder l’opportunité de développer en Chaudière-Appalaches, une énergie
associée à la biomasse forestière au profit de l’industrie de la transformation du bois sans perdre de
vue le développement de la région. « Au-delà d’une approche qui vise l’intégration de la biomasse à
l’industrie de la transformation du bois, il s’agit de miser sur une vision régionale de développement
durable ».
Publié par Nouvelles, le Déc 03, 2010 • Catégorie: Lévis •
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CONTACTS AFFAIRES DRUMMONDVILLE – ÉDITION AUTOMNE 2010
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Publié par admin, le Déc 01, 2010 • Catégorie: Drummondville •